-->
Jean-Pierre SERRA maire de Roquebrune sur Argens
Bonjour, nous sommes le - Nous fêtons:
Les Années Cabasse 1977-1993 Les Années Serra 1993-2001 Les Années d’0pposition 2001-2008 Les Elections Municipales jpserra2008 Le MPA Mouvement Pour l’Avenir L’Urbanisme POS-PLU et SCOT Du Bon Usage de l’Argent Public
-->    

 

 

 

31 ans de mandats,

Les années CABASSE

Elu en 1977 sur la liste d’André CABASSE, Jean-Pierre SERRA, malgré son jeune âge (il n’avait pas 24 ans), a très rapidement, pris une place prépondérante dans l’équipe qui se mettait en place aux cotés de Pierre GINESTET, Yves SERRA, Gabrielle JANER et bien d’autres avec qui il partagé près de 20 ans de mandats.

L’objet de cette rubrique est de revenir sur les grandes dates de cette période où notre Commune a pris une nouvelle dimension, par le développement de la périphérie du Village et de nombreux quartiers aux Issambres et surtout par la création de la Bouverie.

Ce furent des années passionnantes, car notre Commune a du relever de nombreux défis, face à cette accélération de la démographie. En effet, il faut savoir qu’entre les recensements de 1982 et 1990, Roquebrune S/Argens a enregistré la plus forte progression de population pour la Région.

Ultérieurement, nous évoquerons le premier mandat de 1977 à 1983, au cours duquel Jean-Pierre SERRA fit ses classes et participa activement à l’élection cantonale qui a permis à « Dédé » de devenir Conseiller Général pour la 1ère fois en 1979. Puis le second mandat, plus difficile, car l’arrivée de la Bouverie a coïncidé avec le départ de Pierre GINESTET, qui appelé à présider la Cour d’Appel d’Orléans a souhaité confier à Jean-Pierre SERRA, la délégation aux finances, au personnel et à l’administration générale.

Nous reviendrons bien sûr sur le mandat de 1989 à 1993, au début duquel il avait mis comme condition d’être le « patron » de la gestion communale pour ne plus avoir à gérer à posteriori des décisions prises par d’autres et ayant des conséquences financières importantes.

C’est d’ailleurs dans ce but, qu’il avait imposé que François HENRIOT, Robert MASSON et Jean-Paul OLLIVIER (dont André CABASSE ne voulait pas et c’est Michel VALLAURI qui en a fait les frais !) entrent dans l’équipe municipale et viennent rejoindre le cercle des « anciens » adjoints.

Il a donc, durant ces premières années de mandat, tout naturellement été désigné par « Dédé », comme son « successeur », même si sa carrière professionnelle prenait une nouvelle dimension et lui ouvrait des perspectives d’évolution au plus haut niveau.

L’union de l’équipe autour d’André CABASSE a cependant été altérée, dans le courant de l’été 1991, dans la perspective des cantonales de mars 1992. En effet, Maurice ARRECKX, alors Président du Conseil Général, avait demandé à « Dédé » de laisser sa place à Michel HAMAIDE, Conseiller Général du Canton de Fréjus, qui, en désaccord avec François LEOTARD, devait retrouver à tout prix un siège dans la majorité départementale.

Suite aux positions prises par « Dédé », il a fallu « négocier » son retrait et obtenir des « compensations ». C’est ainsi que le dossier de création du Collège a été placé en priorité et que son financement a été assuré dans des conditions avantageuses pour la Commune. C’est d’ailleurs l’une des principales raisons qui ont permis à Jean-Pierre SERRA, d’obtenir d’Hubert FALCO et du regretté Pierre FERRARI, le Recteur de l’époque, que ce collège porte le nom d’André CABASSE.

 

 


 

   
© Jean-Pierre SERRA - Réalisation Alain Escobar